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ESSEC > Parcours candidat(e)s > Louis Peyret - AST FR
Prénom : Louis
Nom : Peyret
Série de baccalauréat : Scientifique, mention Assez Bien
Etudes supérieures : Master 1 en Economie-Gestion à Assas, Mention Assez Bien
(13 / 20 de moyenne chaque année)
Score TAGE MAGE : 417/600
Score IETLS : 7/9
ADMISSIBLE dans quelles écoles ? ESSEC et emlyon
ADMIS dans quelles écoles ? ESSEC et emlyon
Choix définitif ? ESSEC
Bonjour, peux-tu nous décrire ton parcours ?
Bonjour. J’ai passé mon Baccalauréat en 2014 au Lycée Stanislas (Paris VIème), puis je suis rentré en Licence d’Economie et Gestion à Paris II (Assas). Ce choix d’orientation était motivé, à l’époque, par le souhait de m’inscrire dans des projets extra-universitaires variés. En effet, l’Université offrait à mes yeux l’opportunité de compléter ma formation par des expériences professionnelles et associatives enrichissantes.
Assez tôt, j’avais le concours d’Admissions sur Titres aux écoles de commerce en ligne de mire. J’ai donc attendu d’obtenir un Master 1 en Economie-Gestion pour postuler aux concours, et rejoindre le Programme Grande Ecole de l’ESSEC, à la rentrée 2018-2019.
Quelles étaient tes expériences marquantes au moment de passer les concours ?
- Expériences professionnelles : J’avais 3 principales expériences professionnelles à faire valoir sur mon CV :
1) Stage ouvrier d’un mois, au sein d’un chantier naval, près de Montpellier.
2) Stage de 2 mois en Chine, dans une joint-venture franco-chinoise, spécialisée dans l’industrie du prêt-à-porter. J’étais rattaché au service qualité, et responsable du suivi de la production pour certains clients.
3) Intérimaire au sein d’une agence pour étudiants : multiples petites missions : commercial pour Nokia, vendeur exposant au Printemps du Goût, etc.
- Expériences internationales :
1) Stage de deux mois en Chine, dans la région de Shanghaï, entrecoupé de 15 jours en Corée du Sud.
2) Voyage humanitaire d’un mois au Cambodge, au sein d’un orphelinat.
- Expériences associatives :
1) Scout de 12 à 17 ans, puis responsable de camp de 2015 à 2017 (30 jeunes).
2) Trésorier de l’association de voile d’Assas (budget annuel de 40 000€).
- Expériences sportives :
1) Pratique de l’escrime en compétition - équipe et individuelle - depuis l’âge de 12 ans.
2) Pratique de la voile (croisière et régate) depuis le plus jeune âge. Adhérent aux Glénans. Moniteur de voile légère, et formateur aux diplômes de chef de bord.
Quels étaient les points FORTS / FAIBLES de ta candidature aux concours ?
Points forts :
- Pour les admissibilités, mon score au TAGE MAGE (417/600). C'est grâce à lui que j’ai assuré mes admissibilités à l’ESSEC et à l’EM.
- Pour les oraux, mes expériences à raconter / « soft skills » : J’avais pu vivre beaucoup d’expériences assez variées, dans des cadres assez différents, ce qui me faisait, de fait, pas mal de choses à raconter. De plus, je parvenais, à expliquer assez synthétiquement les apports de ces expériences diverses.
Points faibles :
- D'abord, je ne savais pas ce que je voulais faire. Le fait que j’ai eu beaucoup de choses à raconter, comme dit précédemment, pouvait aussi se retourner contre moi, d’autant plus que je n’avais pas d’idée précise de ce que je souhaitais faire. Par conséquent, je risquais de m’égarer à l’oral, et de perdre le fil rouge de mon entretien, sous un fouillis d’anecdotes issues de mon expérience. De plus, la diversité de ces expériences ne m’aidait pas à fixer un projet professionnel, car je partais un peu dans « tous les sens ». Il était également difficile pour moi de défendre, sous le stress de l’oral, un projet auquel je ne croyais pas pleinement.
- Ensuite, j’étais assez léger en langues. J’avais un niveau d’anglais assez léger, et de vagues souvenirs du Lycée en LVII. Par conséquent, je n’ai pas présenté l’ESCP BS, qui nécessitait un oral d’Allemand ; et je savais que je pourrais compter difficilement sur l’oral d’anglais pour rattraper un entretien de motivation moyen. L’ESSEC ne demandait pas d’oral de LVI, c’était une réelle opportunité pour maximiser mes chances d’admission.
Qu’as-tu fait pour contrecarrer tes points faibles ?
En ce qui concerne le projet professionnel, je me suis efforcé de trouver un dénominateur commun à toutes mes expériences : le secteur des ressources humaines. Puis j’ai essayé de contacter beaucoup de personnes de mon entourage, issues de ce secteur-là, afin d’en constituer une idée la plus précise possible. Enfin, j’ai subordonné l’ensemble de mes retours d’expérience à ce projet que j’avais monté « de toutes pièces ». C’était donc l’occasion de parler de ces « soft skills », via le prisme professionnel des rapports humains en entreprise.
Concernant les langues, il fallait que mon entretien de motivation soit en « béton armé ». C’est d’ailleurs ce qui me plaisait dans l’épreuve de l’ESSEC : un entretien unique et plus long, comme une occasion unique de faire la différence.
Quelles sont les principales difficultés des épreuves ÉCRITES aux concours selon toi ?
A mon sens, la préparation des épreuves écrites relève de la plus grande difficulté. Malgré tous les mécanismes de suivi et d’accompagnement des élèves dans la préparation des épreuves écrites, la part essentielle, est à faire seul(e). Ceci implique donc une grande discipline et une certaine régularité.
Le nombre de tentatives était limité, ce qui restreint le droit à l’erreur.
Comment t’es-tu préparé aux ÉCRITS ?
Tout d’abord, il me semblait essentiel de passer au moins deux fois le test TAGE MAGE : une première fois pour jauger l’épreuve en conditions réelles, et une deuxième fois pour performer.
Au vu de la discipline et de la régularité demandées, je m’efforçais de passer a minima 2 heures par jour sur le TAGE MAGE pendant les 6 semaines précédant mon examen. J’ai ainsi dû faire plus d’une vingtaine de sujets blancs. La régularité et la répétition étaient les clés pour dépasser le score de 400.
J’ai commencé à me pencher sur le sujet assez tôt. J’ai passé une première fois le TAGE MAGE en juin précédant l’année où je postulais aux concours. Puis j’ai fait le choix de le passer ensuite en novembre (donc un début de préparation à la rentrée universitaire), ce qui présentait un double avantage. D’abord, l’année universitaire n’était pas encore très engagée, j’étais donc frais et disponible pour la préparation ; ensuite, j’avais la possibilité de passer l’examen une troisième fois en cas de score insuffisant.
En ce qui concerne l’écrit d’anglais, j’ai passé l’IELTS, car c’était un test reconnu dans le monde anglo-saxon. En effet, je présentais des Masters à l’étranger. Je me suis donc astreint aux conseils et aux livres qu’on pouvait trouver à ce sujet, notamment sur le site du British Council. Là encore, la répétition et la régularité de la préparation étaient indispensables. J’ai donc travaillé sur environ une quinzaine de sujets blancs, tout en tenant à jour un carnet de vocabulaire, afin d’enrichir mon lexique.
Quelles sont les principales difficultés des épreuves ORALES aux concours selon toi ?
Tout d’abord, le calendrier était une difficulté non négligeable. Pour ma part, les oraux de l'emlyon et de l’ESSEC sont tombés en plein pendant ma semaine de partiels. Ce n’était pas un problème en soi, car j’étais persuadé que ma préparation aux oraux devait être bouclée 15 jours avant. Toutefois, en cas de sensibilité particulière au stress, cela peut s’avérer compliqué à gérer. Globalement, cela met en lumière l’importance de l’anticipation dans la préparation de ces concours.
Rester fidèle à soi-même est également difficile. On est tenté, en croisant du monde dans les couloirs, de travestir son discours, souvent en dernière minute. Les autres paraissent souvent meilleurs (du fait d’expériences plus riches, etc.), ce qui peut miner la confiance en soi. Il est primordial de « rester dans sa bulle » et d’avoir conscience de la richesse singulière de son profil, qui a d’ailleurs bien été sélectionné pour une raison particulière.
Enfin, je dirais qu’il est essentiel de vaincre ses mauvaises perceptions. Au long de l’entretien, une remarque, une mimique de votre interlocuteur peut provoquer un malaise, voire une perte de confiance en soi. Il est indispensable de garder la constance de son discours et de son attitude tout au long de l’entretien. C’est particulièrement le cas, lors de l’entretien de l’ESSEC où, pendant 45 minutes, vous serez « remué(e) » de façon plus au moins directe. Dans ces conditions, votre résilience est primordiale, elle fait la différence.
Comment t’es-tu préparé aux ORAUX ?
J’ai multiplié les oraux blancs, notamment auprès de personnes diplômés de l’ESSEC, de jurys d’admissions, mais aussi de personnes ayant raté les concours. En effet, je trouvais que ceux qui ont réussi voient souvent tout en rose, alors que ceux qui n’ont pas été retenus, sont plus à même de déminer les écueils que je pouvais rencontrer.
Il était difficile pour moi de compiler les avis, à chaque fois différents, de mes interlocuteurs.
Souvent les remarques s’opposent, là encore j’ai fait le choix d’être le plus fidèle à moi-même, quitte à renoncer à « ce qui marche ». J’étais assez sensible au stress de l’oral, par conséquent j’étais convaincu que je ne pourrais pas tenir un discours artificiel, face à un jury, qui pourrait s’avérer difficile.
Concernant les formats d’oraux – notamment les questions de l’emlyon – je n’ai pas suivi de préparation spécifique, si ce n’est de lire un document où les questions avaient été recueillies (groupe Facebook Monsieur TAGE MAGE). Pour moi l’ensemble de mon propos aux oraux s’apparentait à un puzzle où chaque élément de discours était relié aux autres, tous rattachés à la question centrale : "Pourquoi je souhaite rejoindre cette école ?"
Par conséquent toute question, aussi originale qu’elle puisse paraître, relève de ce constat. C’est ainsi que j’ai souhaité organiser mes idées et mes éventuelles réponses.
De fait, l’ESSEC et l’emlyon étaient les deux seules écoles que, pour des raisons très différentes, je souhaitais fondamentalement rejoindre.
Quelle est l’école qui t’a le plus marqué le jour de tes oraux ? (campus, ambiance, accueil, etc.). Pourquoi ?
Curieusement, j’ai trouvé l’ambiance de l’emlyon assez « traître ».
En effet, on y croisait beaucoup de monde – connu ou pas – au point qu’on pouvait y perdre de vue notre objectif. La mobilisation assez massive des étudiants, et la tenue d’un flashmob n’atténuaient en rien ma tension. J’avais l’impression de passer d’un extrême à l’autre, en termes d’ambiance, ce qui m’empêchait de me mettre dans un état d’esprit propre aux oraux. Le primat de l’ambiance était assumé. Le fait de croiser beaucoup d’élèves et beaucoup de candidats en même temps renforçait l’aspect « usine » de ces oraux, si bien qu’après 20 minutes d’entretien de motivation, j’avais du mal à voir comment la singularité de mon profil avait pu être perçue.
Au contraire, à l’ESSEC, nous passions les oraux dans une partie isolée de l’école. On y croisait moins de candidats et seul un petit nombre d’élèves nous accompagnaient. C’était sans doute plus solennel, d’une certaine façon, mais cela traduisait la considération de l’école, pour nos candidatures. Du moins c’était mon ressenti. J’ai également eu le sentiment d’être davantage écouté par les élèves, là où, à Ecully, une partie de ping-pong m’aurait été proposée pour reprendre confiance en moi.
A la sortie de l’oral, je pensais que ma candidature ne serait pas retenue. J’ai donc quitté le campus, plein d’amertume, pensant que je ne le reverrais jamais.
Quel était ton projet professionnel aux oraux ?
J’avais mûri le projet de travailler dans les Ressources Humaines.
Notamment, je trouvais que le poste de DRH était passionnant, j’avais d’ailleurs une admiration particulière pour la carrière de Madame Pénicaud, tout juste nommée Ministre de l’Emploi (ex DRH de Danone, entre autres).
Je n’avais pas de connaissance particulière sur cette fonction, je me devais donc de travailler davantage, et de rencontrer des professionnels pour affiner au mieux mon discours. Finalement les profils qui composaient mon jury à l’ESSEC, n’étaient pas vraiment spécialisés sur ce sujet. Par conséquent, j’ai pu échapper à des questions plus pointues, auxquelles j'aurais été confronté si j’avais fait le choix d’un projet professionnel orienté, comme beaucoup, vers la finance.
Désormais, je peux dire que les Ressources Humaines ne font plus partie de mon projet actuel. C’est bien la preuve que présenter un projet professionnel spécifique, ne conditionne en rien votre avenir.
Si tu devais changer quelque chose dans ta préparation aux concours, que changerais-tu ?
J’ai eu beaucoup de mal à faire abstraction du « tumulte » lié aux écoles de commerce à Assas. C’était un sujet très en vogue, tout le monde en parlait beaucoup. Il s’instaurait, de fait, une sorte de défiance assez malsaine entre les uns et les autres.
Par conséquent, je suis beaucoup resté dans mon coin pour préparer ces concours.
Avec du recul, j’aurais pourtant aimé pouvoir les préparer avec un partenaire fixé, avec lequel, on se serait entraidés. C’est une pratique qui se fait davantage sur le concours AST internationaux, la compétition y est moins pesante.
Si tu devais donner 3 conseils aux membres de nos communautés pour se préparer aux concours. Lesquels ?
1) Anticipez : Dès la Licence, j’avais fait mon choix de présenter le concours d’Admissions sur Titre aux Grandes Écoles de Commerce en Master. Ceci m’a permis d’anticiper et de planifier au mieux ma candidature, notamment le passage des écrits. Pour bien les réussir, il était important d’avoir une visibilité à plusieurs mois sur la préparation que ces épreuves demandaient. En particulier, récolter des avis, et des retours pertinents auprès d’autres personnes peut prendre du temps. C’est une démarche nécessaire afin de mettre toutes les chances d’admissibilité de son côté.
D’autre part, l’anticipation est très importante dans l’élaboration d’un projet pertinent. L’affiner peut prendre du temps.
Enfin, l’épreuve orale était assez nouvelle pour moi, dans la mesure où elle était peu pratiquée à l’Université. De fait, la préparation aux oraux peut être longue.
Les concours seront plus compliqués pour des candidats de dernière minute, qui y voient une voie de « secours ».
2) Soyez régulier : La préparation des concours doit être la plus régulière possible. Les épreuves écrites, aussi bien que les oraux nécessitent une certaine gymnastique intellectuelle pour être performant. A mon sens, il n’est pas optimal d’enchaîner une période intense de travail, suivie d’un mois de vide.
La régularité est aussi le moyen de ne pas perdre son objectif de vue.
Cependant, il peut s’avérer difficile de jongler entre son cursus actuel et la préparation des concours. D’autre part, il me semble important d’acquérir une culture économique et de développer une analyse critique de l’actualité pour les oraux. Pour cela, passer 20 minutes par jour pour consulter des sites d’informations plus ou moins spécialisés, vous permettra de mettre toutes les chances de vos côtés.
3) Ayez confiance en vous : La préparation des concours est souvent une période que l’on passe seul. Pendant l’année universitaire précédant les concours, on est amené à se construire une sorte de bulle. Il devient par conséquent difficile de se jauger, et d’appréhender ses chances de réussite. Le doute peut même surgir, au regard de profils qui, sur le papier, auraient plus de chance. Ce phénomène peut même s’accentuer à l’approche des oraux, et dérégler votre propre discours.
Il est primordial, tout au long de votre préparation, de garder confiance en vous et en votre projet. La régularité de votre travail, et votre anticipation – énoncées précédemment – doivent vous servir d’ancrage pour conserver tout votre aplomb lors des oraux. L’admissibilité montrera d’ailleurs que votre profil est pertinent, qu’il intéresse l’école en question, et qu’elle veut vous rencontrer. Alors foncez !
Si tu devais décrire ton école en 3 mots, que dirais-tu ? Et pourquoi ?
1) Flexibilité : La flexibilité est au cœur du cursus d’enseignement de l’ESSEC. En effet, l’étudiant est libre de choisir comment il/elle va organiser ses années à l’école, sous réserve de valider l’ensemble des critères de « diplomation » (mois de stage, cours fondamentaux et électifs, expériences à l’étranger, etc.). Ainsi, un(e) ESSEC pourra construire son propre parcours, en fonction de son projet professionnel.
Cette flexibilité qu'offre l'école, donne naissance à des cursus très différents, et à des profils très complémentaires. A ce titre, l’école offre de nombreuses opportunités aux élèves pour rendre leur parcours unique et formateur (alternance, double-diplômes, échanges à l’étranger, chaires d’enseignement ou de recherche, etc.).
De fait, il est rare de trouver des élèves qui ont un parcours identique à l’ESSEC, depuis leur entrée jusqu’à la remise de leur diplôme.
La flexibilité se traduit aussi dans l’offre d’enseignement. En effet, les élèves ont accès aux mêmes cours, quel que soit l’état d’avancement de leur parcours. Il en sort des échanges très enrichissants entre ceux, tout justement admis, et ceux en phase d’être diplômés.
2) Singularité : La singularité est régulièrement mise en avant à l’ESSEC. En effet, le parcours « à la carte », tel qu’il a été décrit ci-dessus, façonne des profils différents et uniques. La flexibilité qui est offerte dans l’enseignement de l’école donne à chacun la possibilité de cultiver cette singularité, en offrant aux élèves un accompagnement de haut-niveau, quelles que soient leurs appétences.
Ainsi, il est courant de voir dans un même cours un élève sorti d’ECS, une élève AST issu du Droit, une autre élève international, un élève ingénieur, ou encore un autre qui suit un double-diplôme en Histoire de l’Art. Il est même fréquent que certains cours soient ouverts aux élèves de Master Spécialisés.
Cette singularité s’observe également dans la vie associative de l’école, à laquelle les AST prennent part.
A l’ESSEC, l’enseignement, la vie associative et la vie sur le campus créent une véritable émulsion entre les différents profils qu’englobe le PGE. En effet, la promotion est divisée entre une moitié d’élèves issus de classes prépa, et une moitié d’élèves admis sur titre (concours internationaux et français confondus). Cette mosaïque de profils jouit d’un enseignement spécifique, afin que tous deviennent des acteurs performants, quel que soit leur domaine d’expertise.
La singularité qui est prônée à l’ESSEC doit être un véritable message d’espoir pour chacun des candidats qui présente le concours d’entrée. En effet, tous les profils y ont leur place, et les candidats n’ont aucune raison de formater leur discours et de dire au jury « ce qu’il a envie d’entendre ». Aux oraux, un profil spécifique sera apprécié, dès lors que le candidat parviendra à démontrer en quoi le Programme Grande École de l’ESSEC lui permettra de réaliser son projet professionnel.
Dynamisme : Le dynamisme est représenté par "l’Esprit Pionnier". Cette formule atteste d’un enseignement innovant et performant. C’est ainsi que l’ESSEC est la première école de commerce à avoir ouvert ses portes aux femmes, à avoir mis en place l’alternance, à avoir ouvert un campus en Asie puis en Afrique, et bien d’autres choses.
L’école développe une perpétuelle remise en question, afin d’adapter son enseignement aux enjeux de demain.
En témoigne par exemple, la création dans les années 2000 d’une chaire d’innovation et d’entrepreneuriat social, afin de répondre aux besoins de formation sur la question de l’Économie Sociale et Solidaire, qui est aujourd’hui plus actuelle que jamais.
L’ESSEC fourmille de nouvelles offres d’enseignement toujours plus adaptées aux enjeux auxquels ses élèves feront face. Dans un monde mouvant où les exigences changent sans cesse, une école de management se doit d’être encore plus dynamique et agile afin de donner à ses élèves une formation cohérente et actuelle. A mon sens, l’ESSEC s’inscrit parfaitement dans cette démarche. Son dynamisme montre comment elle a à cœur d’être en avance sur les enjeux futurs.
Pour moi, c’est un atout très important de l’école. Elle adapte son offre d’enseignement, tout en restant très performante. C’est aussi très rassurant pour un élève, de se dire, que son école, met tout en place pour anticiper les questions qu’il affrontera.
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