Consolider l’excellence académique, la recherche et l’innovation, tout en plaçant les aspirations des étudiants au cœur du Programme Grande École, telle est l’ambition du plan stratégique 2018-2022 de NEOMA Business School.

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Quatre pôles d’excellence, des chaires et instituts appuient cette nouvelle philosophie. De plus, 18 nouveaux professeurs internationaux ont rejoint le corps professoral de l'École en Septembre 2021. L’objectif à long terme ? Offrir des dispositifs pédagogiques exclusifs et renforcer la dynamique qui anime l'École depuis 150 ans.

 

Les quatre pôles d’Excellence de NEOMA Business School pour répondre aux enjeux de demain

 

- The World we want – Quel monde souhaitons-nous pour demain et comment les entreprises peuvent-elles participer à le construire ?

- The Future of Work – Quelles seront les nouvelles modalités de travail et les compétences clés dans le monde de demain ?

- AI, Data Science and Business – Comment piloter la transformation digitale et ses impacts sur les organisations et la société ?

- The Complexity advantage – Comment faciliter la prise de décision des organisations et des individus dans un monde de plus en plus complexe ?

 

Ces quatre pôles trouvent leurs racines dans les aspirations des étudiants exprimées lors d’une enquête :

- « Je serai citoyen du monde » : Répondre à l’urgence climatique, les enjeux sociaux et les défis associés à la RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises).

- « Je serai créatif et innovant » : Le désir d’entreprendre au cœur de l’ambition des étudiants.

- « Je serai acteur de la digitalisation » : Participer à la transformation économique et technologique, évolution du numérique.

- « Je serai capable de transformer la complexité en opportunité » : Les enjeux, risques et défis évolutifs (Logistique, Finance, Big Data, etc.).

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La chaire Bioéconomie et développement soutenable : L’économie et le management de la transition écologique

 

Créée en 2012, la chaire se consacre à la bioéconomie : L’étude des activités de production et de transformation de la biomasse qu'elle soit forestière, agricole et aquacole à des fins de production alimentaire, d'alimentation animale, de matériaux biosourcés, d'énergie.

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Membres du Pôle IAR, pôle de bioéconomie français de référence, les chercheurs axent leurs recherches sur l’agriculture soutenable et ses enjeux territoriaux, ainsi que les chaînes de valeurs de la bioéconomie.

 

Financement : 1,8 millions d’euros ont été récoltés entre 2017 et 2021 grâce à la Communauté Urbaine du Grand Reims, Neoma Business School, la C.C.I. de la Marne et enfin la fondation du site Paris-Reims.

 

 

Institut de recherche Smart Products & Consumption (SPOC)

 

Le développement des objets intelligents a explosé ces dernières années : assistants vocaux, montres connectés, écouteurs intelligents, détecteurs de présence, calcul du volume de déchets, etc. Ces mutations des objets de notre quotidien amènent des transformations économiques et sociales et des questionnements sur l’évolution de ces Smart Products sur le court et long terme.

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Financement : La région Grand Est axe son objectif sur la recherche des robots intelligents pour les personnes âgées et l’agriculture intelligente. Le programme de l’Union Européenne Interreg a également participé au financement.

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Institut de recherche CLEO (Centre de Leadership et Efficacité Organisationnelle)

 

Cet institut base sa recherche sur le triptyque agilité, leadership et collaboration. Recherche, conseils et formation des dirigeants sont des solutions fournies par l’Institut et ses enseignants-chercheurs afin de de mieux répondre aux défis de flexibilité, souplesse et prévoyance.

 

Les partenaires ayant travaillé avec CLEO sont nombreux : Adidas, Danone, Safran, Unilever…

CLEO est installé sur le campus de NEOMA Reims et a reçu le soutien de Reims Métropole.

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Institut de recherche MOBIS

 

Depuis 2007, l’Institut de Recherche MOBIS témoigne de l’expertise de NEOMA dans le domaine de la Supply Chain et de la socio-économie des transports. La pro-activité de l’Institut a payé : ce dernier trouve sa place auprès d’instituts publics (Union Européenne, OCDE, Gouvernement Français et Région Normandie) et d’entreprises internationales pour soulever les nouveaux questionnements liés à la mobilité sous contraintes écologiques et technologiques.