KEDGE > Parcours candidat(e)s > Axel Carton
Prénom : Axel Nom : CARTON
Série de baccalauréat + moyenne obtenue : Baccalauréat Économique et Social, option européenne espagnole, avec la mention Très Bien (16,3/20)
Études supérieures + moyenne générale du (ou des) diplôme(s) : Diplôme Universitaire de Technologie (DUT) spécialisé en Gestion des Entreprises et des Administrations (GEA) à l’Institut Universitaire de Technologie (IUT) Clermont-Auvergne (S1 : 14,4/20, 12ème de promotion ; S2 : 13,9/20, 23ème de promotion ; S3 : 14,5/20, 5 ème de promotion ; S4 : 15,4/20, major de promotion)
Score TAGE 2 ? TOEIC ? TAGE 2 : 65/210 et TOEIC : 940/990
ADMISSIBLE dans quelles écoles ? KEDGE et NEOMA
ADMIS dans quelles écoles ? KEDGE et NEOMA
Choix définitif ? KEDGE (campus de Bordeaux)
1) Bonjour, peux-tu nous décrire ton parcours ?
Bonjour, je m’appelle Axel Carton, j’ai 20 ans et suis originaire de Clermont-Ferrand.
J’ai obtenu un baccalauréat filière économique et sociale et l’option européenne espagnole au sein du lycée René Descartes à Cournon-d’Auvergne. Comme de nombreux élèves de Terminale, j’ai été amené à faire un choix concernant la poursuite de mes études. J’avais fait deux vœux sur Parcoursup :
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Classe Préparatoire aux Grandes Écoles B/L à Clermont-Ferrand)
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DUT (dorénavant BUT) GEA de Clermont-Ferrand
Lors des résultats d’admission, j’ai eu le plaisir d’être admis dans les deux formations demandées. Néanmoins, je ne savais pas vers où m’orienter : d’une part, j’aimais beaucoup suivre les enseignements tels que la philosophie, l’histoire-géographie et je voulais approfondir l’étude de ces disciplines. D’autre part, je m’intéressais déjà au monde de l’entreprise en percevant tous les changements que ces dernières connaissaient et j’avais envie d’y prendre part, notamment à travers les stages et un projet de création d’entreprise.
En fin de compte, j’ai décidé de poursuivre mes études dans le domaine de la gestion puisque j’avais également envie de me lancer un défi en découvrant les sciences de la gestion comme : le marketing, la communication, la stratégie, etc.
Après une première année durant laquelle j’ai découvert certaines notions juridiques, comptables, économique et managériales, le temps était venu pour moi de faire des choix de spécialités pour ma deuxième année et de commencer à préparer l’après DUT. Ainsi, j’ai opté pour la spécialisation en Gestion et Management des Opérations (plutôt que la Gestion Comptable et Financière ou Gestion des Ressources Humaines). De plus, c’est après mûre réflexion que j’ai décidé de préparer les concours des écoles de commerce en Admissions sur Titre 1 (AST1).
Finalement, je peux dire que le choix fait lors de Parcoursup il y a deux ans a été fructueux puisque je conclus ce DUT GEA avec des bases solides en comptabilité, en analyse financière, en communication, etc. À ces deux ans s’ajoutent également deux stages, deux projets de création d’entreprise et des engagements associatifs.
De plus, je n’ai pas délaissé mon attrait pour les disciplines étudiées au lycée puisque je nourrissais mon intérêt en lisant des revues et des journaux.
Aujourd’hui, c’est avec grand plaisir que je rejoins donc KEDGE Business School sur le campus de Bordeaux.
2) Quelles étaient tes expériences marquantes au moment de passer les concours ?
Expériences professionnelles (CDI, CDD, stages, intérim, etc.) :
- En première année, j’ai été mandaté par mon chef de département (GEA) en qualité de tuteur d’accompagnement durant la crise du coronavirus : j’ai organisé des réunions d’une dizaine d’étudiants afin de les soutenir et de me présenter en tant que relais avec l’Université (2 mois)
- Pendant, cette première année, j’ai également pu réaliser un stage en tant qu’assistant web marketing dans l’entreprise (Com By L) de ma professeure en communication. Grâce à cette expérience, j’ai pu apprendre à gérer le lancement d’une plateforme d’e-learning (calendrier, promotion, SEO, rédaction des articles de blog - 1 mois).
- Ensuite, j’ai voulu réaliser ma première expérience saisonnière en dehors de Clermont-Ferrand. C’est ainsi que j’ai travaillé à Millau en tant que responsable de la vente à emporter dans le restaurant d’un camping.
- Enfin, j’ai eu en deuxième année l’opportunité d’effectuer un stage au sein de la filiale financière de la BNP Paribas (BNP Paribas Personal Finance). J’ai pu recruter des alternants, répondre aux demandes des clients, faire du rebond commercial et créer des animations pour les équipes. Les stages peuvent être de réels tremplins puisqu’ils donnent parfois l’opportunité de rester au sein de l’entreprise. Cela a été mon cas puisqu’à la suite du stage, j’ai intégré la structure en tant qu’auxiliaire de vacances au Service Client Expert (le stage a duré 3 mois).
Expériences associatives :
- Je me suis engagé chez Time For The Planet (une entreprise à mission active dans le domaine de la lutte contre le changement climatique en France et à l'étranger) en tant qu’associé et évaluateur. L'objectif annoncé de la société est la levée d'un milliard d'euros, ainsi que la création de 100 filiales. Chaque filiale créée résultera de l'évaluation d'une innovation, luttant directement contre les gaz à effet de serre. À titre personnel, je suis donc actionnaire et j’évalue (avec des dizaines de milliers de personnes) la pertinence des innovations.
- J’ai également rejoint l’association Les Engagés. Ce mouvement citoyen apartisan a pour but de promouvoir l’engagement sous toutes ses formes (politique, entrepreneurial, citoyen, humanitaire). Au sein de cette association, je suis membre du pôle financement avec qui je travaille sur divers sujets tels que les levées de fonds.
Expériences sportives :
- Badminton (8 ans). Étant donné que j’ai joué au badminton pendant plusieurs années en club et en compétition, j’ai pu mettre en avant cette expérience, qui m’a forgé à bien des égards.
Expériences internationales :
- Lors de mes entretiens, je n’ai pas mis d’expériences à l’étranger en avant. Cela n’a pas empêché de démontrer mon appétence pour l’international en expliquant justement vouloir intégrer l’école pour partir étudier dans les universités partenaires.
3) Quels étaient les points FORTS / FAIBLES de ta candidature aux concours ?
Points FORTS :
- Dossier académique : Tout le long de ma scolarité, j’ai toujours fait au mieux pour obtenir de bons résultats. Je ne voulais pas que mon dossier constitue un frein à mes futures candidatures (même si je ne savais pas ce à quoi j’aspirais).
- Niveau en anglais : Mon niveau en anglais (C1) est un réel point fort. En effet, j’écoute depuis plusieurs années beaucoup de contenu en anglais et cela a été bénéfique lors de la préparation et du passage du TOEIC (940/990). En fin de compte, j’ai plutôt travaillé les pièges, le format de l’épreuve et j’ai réalisé des TOEIC blancs. J’ai donc passé moins de temps que les autres candidats à préparer le TOEIC et plus de temps à travailler mes cours à l’IUT et le reste des concours.
- Connaissances des écoles : Dès que j’ai su que je voulais préparer le concours des écoles de commerce, je me suis plongé dans l’univers de chacune d’entre elles. Pour cela, j’ai :
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Suivi les comptes Instagram, LinkedIn et YouTube des écoles et les différents médias traitant les sujets des écoles de commerce.
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Lu l’ensemble des brochure et établi des points de comparaison entre les écoles
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Contacté les étudiants des écoles
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Contacté les chargés de développement du PGE afin de leur poser des questions.
Quelques mois seulement après le début de ma préparation, je connaissais l’ensemble de l’offre proposée aux étudiants. Je suis resté au courant en lisant l’actualité des écoles.
Points FAIBLES :
Mes principaux points faibles étaient en lien avec le TAGE 2. En effet, j’ai souvent rencontré des difficultés à traduire les problèmes de maths (expliqués littéralement) sous forme mathématique. Par ailleurs, je ne possédais aucune connaissance en logique (comme tout le monde a priori).
Enfin, le temps de réponse (surtout pour la partie logique) est très court et j’en ai fait les frais à plusieurs reprises. Finalement, j’ai obtenu le score de 65/210 au TAGE 2.
4) Qu’as-tu fait pour contrecarrer tes points faibles ?
Pour contrecarrer mes points faibles, j’ai tout d’abord appris par cœur l’ensemble des méthodes de résolution de problèmes (logique), les formules (géométrie, arithmétique, poignées de mains, etc.) et les bases du calcul (table de 1 à 20, cubes, carrés, puissance, nombres premiers).
Par ailleurs, je me suis beaucoup entrainé en réalisant des exercices et en apprenant les corrections.
Quelques jours plus tard, je m’entraînais de nouveau sur les mêmes exercices afin de vérifier si j’avais bien retenu la méthode de résolution du problème. En effet, d’un TAGE 2 à l’autre, certaines méthodes de résolution des problèmes se répètent. Ainsi, le but est de les repérer le plus rapidement possible pour répondre aux questions en quelques secondes.
5) Quelles sont les principales difficultés des épreuves ÉCRITES aux concours selon toi ?
Je pense que la difficulté la plus compliquée à contrecarrer est liée aux sous-tests utilisant les règles de français : grammaire, syntaxe, orthographe, expressions, locutions latines, etc. Et cela pour plusieurs raisons :
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L’étendue des connaissances demandées en français est plus importante que celles liées à la logique et aux mathématiques (pour le TAGE 2 précisément). En français, le programme est infini, notamment pour le vocabulaire et les textes étudiés. En effet, les notions abordées en mathématiques pour le TAGE 2 ne vont pas plus loin que le niveau seconde. Le niveau est donc abordable.
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Contrairement aux mathématiques, vous remarquerez que le français est davantage subjectif. Ainsi, il n’y a pas de « bonne réponse » à proprement parler, mais plutôt la réponse que l’on juge (et les créateurs du test) la meilleure ou la plus adaptée.
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Enfin, il faut être un lecteur rapide et efficace pour réussir au mieux cette épreuve.
Les résultats obtenus en français peuvent donc être assez volatiles en fonction du sujet tandis que nous obtenons souvent le même score en mathématiques et logique (la marge de progression est plus sûre dans ces deux matières).
En ce qui concerne la logique, seule la méthode est à apprendre. Une fois apprise, il faut s’entraîner de nombreuses fois pour ne pas se faire rattraper par le temps.
6) Comment t’es-tu préparé aux ÉCRITS (supports, organisation, etc.) ?
Pour ma préparation aux écrits, j’ai travaillé avec Le Grand Manuel du TAGE 2. Chaque jour (du lundi au vendredi), j’apprenais une fiche et je révisais l’ensemble de ces dernières le week-end.
Une fois par semaine, je m’évaluais en faisant deux sessions de 15 questions (français ou logique ou mathématiques).
Une fois la correction effectuée, je la recommençais le week-end d’après pour confirmer que j’avais appris de mes erreurs.
À partir de janvier, j’ai commencé à m’entraîner sur les TAGE 2 blancs à raison de 2 ou 3 par mois (je passais les écrits en avril).
Le jour J, j’ai obtenu 65/100 à l’examen (soit moins que mes scores aux entraînements). J’ai trouvé la difficulté du Jour J supérieure à l’ensemble des examens blancs mais aussi, j’ai passé une seule fois le TAGE 2 et ne pouvais donc pas choisir la note la plus haute. C’est pour cela que je recommande à tous ceux qui le peuvent de le passer deux fois.
Heureusement, je disposais d’un dossier académique, d'un curriculum vitae et d'un TOEIC permettant d’atténuer l'impact de la note du TAGE 2 sur mes résultats d’admissibilité.
7) Quelles sont les principales difficultés des épreuves ORALES aux concours selon toi ?
Je pense que l’épreuve des oraux peut être difficile pour certains candidats pour plusieurs raisons :
- Les oraux nous invitent à nous mettre en avant et à être l’objet d’une conversation. Il ne faut donc pas hésiter à parler de son parcours, en le liant à notre projet professionnel et à l’école que l’on souhaite intégrer. Certains candidats peuvent donc éprouver certaines difficultés lorsqu’il s’agit de parler de soi de manière synthétique : il faut faire un vrai travail d’introspection pour se préparer aux oraux.
- Je pense que la difficulté majeure est de rester cohérent dans son discours et de croire à ce qu’on raconte (parfois, on nous demande de nous projeter sur 10 ans et ça peut être compliqué de la faire). Lors de mes oraux, les jurys ont souvent essayé de me déstabiliser en voulant me mettre face à mes contradictions, de me faire dire ce que je n’avais pas dit. Cela est normal et leur permet d’évaluer la solidité du projet, la qualité de notre argumentation et notre attitude face à des questions déstabilisantes.
- Enfin, avoir un projet professionnel solide ne veut pas dire être dogmatique ou borné. Il faut dialoguer avec le jury et ne pas hésiter à expliquer les raisons d’un projet professionnel imprécis ou limité à ce stage de notre parcours professionnel.
J’ai eu 18,5/20 à KEDGE, 20/20 à NEOMA et 17/20 en anglais (note commune pour toutes les écoles du concours Ecricome).
8) Comment t’es-tu préparé aux ORAUX (supports, organisation, etc.) ?
Pour me préparer aux oraux, j’ai passé deux entretiens blancs. Le premier était en anglais avec un professeur de communication de l’EDHEC et le deuxième (en français) a eu lieu avec un étudiant de M2 de l’ESCP.
Voici ce que j’ai mis en place pour préparer les oraux :
- J’ai travaillé sur mon projet professionnel de manière approfondie (secteur, domaine, métier) dès la sortie de l’école puis sur le moyen et long terme. Personnellement, je voulais avoir une connaissance très précise du métier de consultant (dans le secteur public). Je me suis donc renseigné en échangeant avec des professionnels, en lisant des offres d’emploi et des articles de sites spécialisés dans le conseil.
- J’ai travaillé les sujets incontournables : mes qualités, mes défauts, mes valeurs, mes compétences, les réponses aux questions : « pourquoi vous et pas un autre ? », « pourquoi notre école et pas une autre ? »).
- J’ai fait un point sur mon parcours scolaire et professionnel pour mieux justifier mes choix et établir un projet cohérent (l’école, mon parcours, mon projet professionnel). Tous les points abordés pendant l’oral doivent être reliés entre eux. Il est important de savoir raconter ses expériences et d’expliquer leurs tenants et leurs aboutissants.
- Je n’ai laissé aucun angle mort et j’allais jusqu’au bout de mes explications. Il faut être maître de son entretien et diriger le jury vers les sujets sur lesquels vous êtes à l’aise.
- J’ai préparé une liste de mots-clés que je voulais placer durant l’entretien et j’avais préparé les liens (exemple : je parle de mes 8 ans de badminton et j’en profite pour dire que je suis intéressé par l’association sportive de l’école).
- Pour entamer le début de l’entretien, j’ai préparé mon pitch de présentation. Pour le conclure, j’ai réfléchi à une question de secours au cas où je n’avais pas de question personnalisée sur un des membres du jury.
- Je me suis concentré sur ma prononciation, mes tics de langage du type « euh » et sur la musicalité de ma voix. De plus, ma tendance à faire des digressions m’a poussé à travailler mon discours en utilisant des techniques de « média training ».
- En ce qui concerne l’anglais, j’ai revu les connecteurs logiques et certains mots de vocabulaire.
- Je me suis tenu au courant de l’actualité tout au long de l’année.
9) Quelle est l’école qui t’a le plus marqué le jour de tes oraux ? (campus, ambiance, accueil, etc.). Pourquoi ?
Lors des portes ouvertes, des oraux, je me souviens avoir été marqué par la qualité des infrastructures du campus de KEDGE à Bordeaux. Ce dernier dispose de nombreux espaces afin de rendre nos journées agréables, c’est un véritable lieu de vie. Les locaux sont spacieux et lumineux (gymnase, bibliothèque, salle de musculation, patio).
Durant les oraux, l’ensemble des admisseurs des différentes écoles nous ont fait vivre pendant quelques heures ce qu’est la vie étudiante dans leurs écoles respectives. Je retiens beaucoup de ferveur, de bonne humeur et de bienveillance.
Je fais une petite mention spéciale au spectacle de NEOMA à Rouen que j’ai trouvé original et vraiment drôle.
10) Quel était ton projet professionnel aux oraux ?
Aux oraux, j’ai présenté le projet professionnel suivant : consultant dans le secteur public.
Présenter le métier de consultant est monnaie courante aux oraux. Toutefois, le secteur public demeure rare. Avec un projet professionnel aussi atypique pour un entretien d’admission, je savais que le jury me poserait de nombreuses questions.
Effectivement, j’ai eu de nombreuses questions sur le métier de consultant (par des personnes étant elles-mêmes consultantes) et sur le secteur public plus précisément.
De plus, les oraux avaient lieu pendant « L’affaire McKinsey ».
Malgré les raisons qui auraient pu me faire choisir un projet professionnel plus impersonnel, j’ai préféré rester fidèle à ce que je souhaitais réellement faire.
11) Si tu devais changer quelque chose dans ta préparation aux concours, que changerais-tu ?
Je reste globalement satisfait de la manière dont j’ai préparé les concours. J’ai trouvé une méthode qui me convenait. Toutefois, davantage de temps m'aurait été bénéfique.
12) Si tu devais donner 3 conseils à nos membres des communautés pour se préparer aux concours, lesquels donnerais-tu ?
Conseil n°1 : Anticiper : vous pourrez ainsi relever des défis d’ampleur sans vous faire submerger par la charge de travail. Anticiper vous permettra aussi de mieux assimiler les notions.
Conseil n°2 : Mesurer : à certains moments, on peut perdre la motivation voire être tenté d’arrêter face au chemin restant ou aux difficultés. Pour cela, je pense que mesurer votre progression (p. ex. temps de réponse à un exercice) peut rappeler le chemin parcouru et la réussite partielle. Voir qu’il vous fallait 4 minutes pour répondre à une question alors qu’il vous en faut maintenant une seule est vraiment encourageant.
Conseil n°3 : Répéter : c’est la clé dans tout apprentissage. Plus vous vous entraînerez au TAGE 2 ou au TOEIC, plus vous pourrez avoir de bons scores rapidement. Cependant, il faut avoir du temps pour répéter les mêmes exercices. C’est pour cela qu’il faut anticiper.
13) Si tu devais décrire ton école en 3 mots, que dirais-tu ? Et pourquoi ?
Pour décrire KEDGE en 3 mots, je dirais :
- Exigeante : Lors des échanges que j’ai eus avec certains professeurs de KEDGE, j’ai compris que l’école attendait de ses étudiants de la rigueur et de la persévérance. Je pense justement que la rigueur et l’exigence sont des valeurs qui permettent de progresser. Cette valeur donne du sens à leur slogan « Here you grow ».
- Diverse :
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KEDGE propose un large panel de cours, d’options (english track, troisième langue vivante), Master et doubles diplômes. Cela permet aux étudiants de disposer de parcours diversifiés. Personnellement, j’ai en partie choisi d’intégrer KEDGE, car l’école offre la possibilité d’effectuer un double diplôme avec Sciences Po Aix-en-Provence.
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Étudier à KEDGE c’est aussi travailler dans un environnement multiculturel puisqu’environ 25 % des étudiants sont étrangers et 45 % des professeurs sont internationaux.
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KEDGE dispose de 63 associations aux activités variées. En allant sur le site de KEDGE, vous verrez à quel point il y a en a pour tous les goûts. J’ai quelques idées d’associations que j’aimerais rejoindre, mais j’attends la rentrée et le forum des associations pour découvrir l’ensemble de cet écosystème !
- Concrète : J’ai trouvé la pédagogie « Grow by doing » intéressante. Il est certes primordial de posséder des connaissances théoriques, mais ne rien en faire consisterait à rester dans l’immobilisme.
Ainsi, l’école nous invite à passer à l’acte (« doing » de « grow by doing ») à travers des stages, des expériences associatives et l’entrepreneuriat. L’école est donc inscrite dans le réel et cela se remarque de par la reconnaissance de KEDGE en tant que meilleure école de management 2022 pour ses Relations Entreprises (Trophées AGIRES SYNERGIE).
14) As-tu travaillé les concours en solo ou accompagné ?
J’ai travaillé le concours avec un institut de préparation. J’ai suivi l’ensemble des cours et le coaching personnalisé à distance. Cela m’a permis d’apporter de la régularité durant la préparation du concours. Effectivement, nous pouvons vite laisser de côté les concours en nous concentrant sur l’IUT (ce que j’avais tendance à faire) ou aux activités associatives. De plus, j’ai pu échanger avec mes camarades e mon institut pour poser des questions. Être accompagné par un institut de préparation permet également de s’encourager mutuellement.