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EDHEC > Parcours étudiant(e)s > Hugo Sallé De Chou, Constantin Wolfrom : Co-fondateurs de Pumpkin

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Pumpkin est devenue la principale plateforme de paiement/remboursement entre particuliers et concurrente directe de son équivalent Lydia. Pumpkin se développe aujourd’hui à la vitesse grand V, et ce notamment dans les groupes d’étudiants en école de commerce. Ce n’est d’ailleurs pas un hasard puisque deux de ses trois fondateurs (Hugo Sallé de Chou et Constantin Wolform) sont eux-mêmes issus d’une école de commerce : l’EDHEC Business School.

 

 

Quels parcours Hugo et Constantin ont-ils suivis avant de créer leur application à succès ?

 

Les deux amis et co-fondateurs de l’application Pumpkin, Hugo et Constantin, sont tous deux issus de la promotion 2011-2014 du parcours Grande École de l’EDHEC où ils ont obtenu leur Master in Management. Ils étaient d’ailleurs membres d’une même association : le Club Voile EDHEC. Comme quoi les associations peuvent jouer un rôle déterminant pour les carrières de leurs membres !

 

Lors de leurs études, tous deux ont suivi différents stages : Hugo s’est intéressé aux métiers de Sales Manager et de Business Developer au sein de Dailymotion tandis que Constantin s’est davantage tourné vers les métiers de la finance et de l’audit/conseil. Toutefois, ils se retrouvent en 2014 pour débuter leur projet d’application mobile facilitant le « paiement entre potes ». 

 

 

Comment les deux entrepreneurs se sont-ils lancés dans l’aventure Pumpkin ?

 

En 2014, alors qu’ils sont sur le point de terminer leurs études au sein de l’EDHEC, les deux jeunes étudiants débutent leur projet via leur collaboration avec l’incubateur lillois : EuraTechnologies. C’est plus particulièrement lors d’un startup week-end organisé par EuroTech’ qu’ils rencontrent Victor Lennel, troisième fondateur de Pumpkin.

 

 

Quelles autres aides les entrepreneurs ont-ils reçues ?

 

EuraTechnologie a véritablement servi de tremplin aux trois entrepreneurs : ils y ont « incubé » leur projet afin de donner naissance à leur entreprise, mais ils y ont aussi rencontré d’autres entrepreneurs qui ont pu leur apporter une aide et des conseils précieux. Qu’il s’agisse de subventions possibles, de choses à faire ou à ne pas faire, les entrepreneurs ont été guidés et en sont aujourd’hui très reconnaissants.

 

Par la suite, ils ont aussi trouvé conseil grâce à leur partenariat avec MangoPay, qui a jusqu’ici développé et géré le service de monnaie électronique de Pumpkin.

 

Enfin, en 2017, le Crédit Mutuel Arkéa a racheté 80% du capital de l’entreprise en ayant pour objectif d’accélérer la croissance de cette dernière. Le Crédit Mutuel Arkéa entend alors y investir 15 millions d’euros sur 3 ans afin que l’entreprise puisse faire face aux éventuels concurrents que les GAFA seraient susceptibles de créer d’ici peu.

 

 

Quelles stratégies ont été utilisées pour gagner en utilisateurs ?

 

Le nom anglo-saxon a été trouvé afin qu’un jour Pumpkin puisse se développer à l’international et de manière à faire écho aux autres marques aux noms de fruits déjà existantes, telles que Apple, BlackBerry, etc.

 

De plus, les entrepreneurs ont recherché le contact direct avec les potentiels utilisateurs en allant distribuer des flyers dans les bars fréquentés par les étudiants lillois, dont les étudiants de l’EDHEC. Jouer sur le réseau EDHEC a donc permis (et continue de permettre) aux deux anciens étudiants d’élargir leur audience et de gagner en utilisateurs. D’ailleurs, les principaux partenaires qui accompagnent aujourd’hui l’application sont des associations étudiantes, principalement celles de l’EDHEC. Les deux fondateurs ont donc bien compris que leur réseau, en tant qu’alumni, était une mine d’or pour leur projet d’entreprise.

 

 

Et en quelques chiffres, à quoi se résume aujourd’hui le succès de Pumpkin ?

 

Aujourd’hui, Pumpkin c’est :

 

  • Plus d’1 million d’utilisateurs

  • 250 millions d’euros échangés depuis sa création

  • Plus de 90 employés

  • Une ambition : augmenter le pouvoir d’achat de ses clients de 200 à 300 euros par an via le système de cashback

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